Enseignement supérieur: Cheikh Oumar Anne fait le plaidoyer des Centres d’excellence d’Afrique

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L’Afrique a aujourd’hui plus que jamais besoin d’une masse critique de jeunes chercheurs avec une formation et un encadrement de qualité. Selon le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la recherche et de l’innovation, les Centres d’Excellence d’Afrique (CEA) ont déjà permis aux étudiants de se doter de compétences scientifiques et techniques de pointe.

«La réussite des premiers centres et les réalisations déjà obtenues des centres « CEA impact » sur le développement de nos pays montrent qu’ils peuvent être certifiés conformément aux normes de qualité internationales. Cela prouve que l’enseignement supérieur africain répond bien aux standards internationaux », affirme Cheikh Oumar Anne.

«Ce matin, mon intervention illustre une fois de plus l’intérêt que le Sénégal accorde à la formation en Science, Technologie et Innovation qui, soulignons-le, sont les vecteurs du développement économique et social », poursuit-il, ajoutant que ces centres cadrent parfaitement avec la vision du président de la République Macky Sall qui ne cesse de réaffirmerson engagement et sa détermination à faire de la science et de la technologie les accélérateurs du développement économique et humain de l’Afrique.

Selon lui, la nouvelle politique de l’Enseignement supérieur au Sénégal est en phase avec les orientations de la Banque mondiale et les nouvelles exigences de l’économie mondiale. A l’en croire, depuis une décennie, l’Etat du Sénégal s’est inscrit dans une dynamique de réforme de son système d’enseignement Supérieur et de Recherche. L’objectif est de faire de l’enseignement supérieur et de la recherche un levier du développement économique, social et culturel du Sénégal. Il affirme que notre pays abrite dans cette phase II de ACE impact, deux nouveaux projets : le CEA-AGIR et le CEA-AGRISAN. Et pour leur efficience, il souligne avoir instruit son département à initier leur accompagnement par les centres d’Excellence de la phase 1, particulièrement le CEA SAMEF de l’UCAD pour leur permettre de s’adapter très vite à ce nouvel environnement.

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