La cour a jugé qu’aucun des droits de Monsieur Ousmane Sonko n’a été violé et l’a débouté de ses demandes.

Procès pour viol: Sonko explique les possibilités d’un autre procès

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«On juge par contumace lorsque l’accusé a disparu ou s’il est en fuite. Alors qu’ils savent où je suis. En plus, la loi dit qu’une personne jugée par contumace, si elle est prise, à la seconde près, le jugement est nul. Si l’accusé, jugé par contumace se constitue prisonnier ou s’ils prennent l’initiative de m’arrêter, ce qu’ils prévoient après le discours de Macky, la loi dit l’arrêt de condamnation est nul», explique Sonko ajoutant que s’il l’arrête à 8 heures, il devrait être chez lui avant 10 heures parce que la peine est anéantie. Selon lui, la loi dit qu’au moins 3 jours avant le jugement, le tribunal doit le retenir ou le laisser rentrer chez moi.

Autrement, dit-il, on serait dans une détention arbitraire. «Et dans ce cas, j’appelle le peuple à se lever massivement et cette fois à en finir avec ce régime criminel. Nous devons organiser des manifestations à travers le pays. On va se battre jusqu’au bout, terminer le combat. J’appelle à la résistance. Je n’ai pas un mot plus fort que le Gatsa Gatsa. Qu’on se prépare. N’ayez pas peur. Le monde entier a les yeux rivés sur Macky Sall. Aucune milice ne sortira plus dans la rue», indique Sonko invitant à dépasser la barrière psychologique de la peur.

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