«Tous les acteurs politiques sont convaincus que la CENA a fait son temps. Elle coute chère et ne sert à rien, elle l’a largement prouvé lors de la mascarade électorale du 30 juillet 2017. Son budget dépasse les deux milliards dont cinq cent millions de salaires. Elle doit être dissoute. A partir de ce moment, le système de gouvernance du processus électoral, reposant sur le contrôle de la CENA, doit être révisé», déclare Mamadou Lamine Diallo.
«L’expérience pratique a prouvé que la CENA, organe de contrôle de l’administration qui organise les élections, ne sert à rien. L’Autorité de régulation de la Démocratie défendue par des membres éminents de BBY, il y’a quelques années, s’impose pour gérer le processus électoral», poursuit-il.