Par Ousmane GUEYE
Pour libérer le peuple sénégalais, il faut une coalition lourde et des concepts très beaux à entendre sous la houlette des leaders en maille avec la justice. Il faut “nga geum sa bopp ‘ pour ne pas les croire. C’est juste un combat de survie pour exister, mais non un combat par conviction. Libérer le peuple par le verbe sans la force du changement (sopi) , un paradoxe à la sénégalaise.
Loin des agissements de nos politiques, le salut du peuple viendra de nos 5000 enseignants recrutés et pour qui, son Excellence instruit les ministres concernés à accélérer le processus pour une très bonne rentrée scolaire. Ces soldats du savoir auront du pain sur la planche.
La restauration des valeurs civiques et morales pour ne pas tomber dans le trafic des passeports diplomatiques, le civisme dans le respect des décisions sur la flambée des prix des denrées et l’hygiène dans la lutte contre le variant entre autres centres d’intérêt qui animent notre quotidien.
On attend d’eux de vrais “Kilifeu “, des responsables et patriotes à l’image de notre regretté Double Less, grand champion qui vient de nous quitter. Paix à son âme ! Une union des coeurs dans la douleur est notre fort. Notre adversité a des limites.
Dieu merci, parce que pas loin de nous, à la limite Sud-Est, la force du changement a dicté sa loi. Notre cher Président Condé est emporté par son propre variant. Doumbiya est sorti de Alpha. Comme quoi, il faut beaucoup faire attention aux moutons qu’on engraisse. Si l’Eléphant a réussi à agripper le Lion par ses pattes de devant, ce dernier a , par contre dominé les Eperviers et parvenu à dompter les “diables rouges” . Pensées pieuses aux hommes de culture (Belmondo et Amobé) là-bas au festival FEMUA d’Abidjan où notre pays est l’invité d’honneur. La paix ce n’est pas un mot; c’est un comportement disait Houphouët Boigny le père de la 225.
Na Bar !