Par Pape Mody Sow
C’est vrai que le débat soulevé ne pose pas la responsabilité des agents et facteurs exogènes comme l’endettement ou la détérioration des termes d’échange dans l’aggravation de la pauvreté dans nos pays.
Ensuite les éléments comparatifs entre les environnements de travail et de production n’apparaissent pas clairement dans l’analyse objective de la variable population en termes qualitatifs ou quantitatifs, selon l’indice de développement humain dans les accessibilités universelles comme la santé, l’éducation, l’eau et l’énergie où le Sénégal a fait des progrès indéniables.
C’est au Club comme nous le faisons si bien de sortir des vieux sentiers battus et d’anticiper sur la recherche et les statistiques concernant les questions de population avant que les institutions internationales qui travaillent selon leurs propres schémas, pas toujours orthodoxes, ne produisent leurs rapports.
Le débat est très intéressant et témoigne de la qualité des ressources humaines du Club.