«Du piège de la dette vers un tumulte sans fin ! Ce tumulte vibrant autour de quelques nominations inappropriées témoigne de la dégradation du climat social et de la détérioration de la confiance.
Effectivement, à la suite de la contrainte sur les finances publiques, l’accent et la portée des questions deviennent cruciaux. Nous entrons dans une phase difficile où il faudra naviguer habilement pour maintenir le contrôle. Hélas, ce que nous percevons et éprouvons actuellement n’est que le commencement d’un long processus qui aurait dû débuter en 2021, mais qui a été repoussé à 2024.
Vous noterez qu’en 2021, l’ex-président avait demandé l’annulation de la dette, puis le retardement les paiements et pour obtenir finalement pour le rééchelonnement des échéances. Cependant, malgré ces signaux UTP ( unlikeness to pay) de faiblesses pour honorer Le remboursement de nos dettes, les agences de notation ont maintenu la note souveraine du Sénégal. Force est de rappeler qu’ en 2021, tous les organismes bancaires avaient mis en défaut l’encours du SENEGAL comme l’exige la règlementation NDOD (new definition at default ).
Tout ceci pour redire que nos problèmes ne font que commencer et que le profil de risque du Sénégal va tourner autour de trois stades ( risque de liquidité, risque de solvabilité, défaut souverain) avec son lot d’augmentation des impôts, baisse des subventions, paiement des salaires compliqué, détérioration du pouvoir d’achat et le pire a prévoir est la dévaluation pour augmenter la masse monétaire ( en diminution de masse monétaire de la zone CFA, manque de compétitivité, problème de liquidité, panne de croissance ). »
Source : page Facebook Abo Gaydel