Ils sont nombreux ceux qui sont à la tête de grandes entreprises et qui sont issus de Guédiawaye, Tamsir Ba. L’ancien directeur général de l’Adie et président de l’association Ensemble pour Guédiawaye (EPG).
«De dignes fils dont Guédiawaye peut s’enorgueillir, car à force de travail, d’abnégation et de sens élevé de la famille, ils sont parvenus à être reconnus et respectés à travers le monde entier. Nous devons donc à cette ‘’grande famille’’, qui est devenue la collectivité à laquelle nous appartenons tous, de nous engager pour son bien-être, sa sécurité et son devenir», dit-il. «Des fils de Guédiawaye, à la réputation solide, occupent à travers les cinq continents, des positions de prestige dans des domaines pointus de la science, de la technologie, de la recherche universitaire, des finances, de la médecine, de la diplomatie, etc», souligne Tamsir Ba.
Tamsir Ba qui s’exprimait, ce dimanche, lors du lancement de l’association,affirme que tous les fils natifs ou adoptifs de la ville ont l’obligation de mutualiser leurs idées et leur savoir-faire pour proposer de nouvelles démarches d’actions publiques et privées au service du bien-être économique et social de nos concitoyens.
«Nous le devons à la postérité, de leur léguer un département prestigieux à la pointe des innovations technologiques, environnementales, sociales, économiques, culturelles et urbanistiques. Nous osons pouvoir espérer compter sur tous et sur chacun pour relever ce défi», poursuit-il.
Toutefois, pour promouvoir le développement de la ville, EPG compte avant tout sur elle-même ou plutôt sur tous les fils de la ville sans exclusive, car l’association veut fédérer toutes les couches en faisant abstraction de leur appartenance politique, religieuse et confrérique.
En effet, elle compte encadrer et former les jeunes qui ont des projets pour leur permettre de réussir. EPG mise également sur les Ntic. Elle a d’ailleurs un important programme de formation dans ce domaine qui est devenu incontournable surtout dans le domaine du E-commerce.
Guédiawaye regorge de fils des corps de métiers, naguère qualifiés de « waacc raxassu», mais qui ont eu le mérite de croire en l’émulation par l’éducation et la formation, à travers l’école publique et républicaine.
