«La mort ne surprend jamais le sage, car il est toujours prêt à partir». Si j’ai invoqué ainsi Jean De Lafontaine c’est parce que les mots justes et féconds de ce penseur français me renvoient votre image, et me font l’obligation de m’associer au concert d’éloges qui ont marqué les différentes cérémonies organisées à l’occasion de vos funérailles.
Ces éloges émanaient de la famille d’El Hadji Malick Sy, de celle de Serigne Touba , des Chérifs Aidara, de celle Seydina Issa Thiaw Laye, et de toutes les familles religieuses, ainsi que des chefs coutumiers; Sans compter les parents, les amis, les hommes politiques et la presse. Bref le Sénégal dans toutes ses composantes vous a rendu un vibrant hommage.
C’est que, vous le méritez amplement pour avoir été une épouse, une maman, une sœur, une amie, une confidente de tous ceux qui vous ont connu ou approchée. Vous serez dans notre cœur et dans notre mémoire tant que nous vivrons.
Une foule nombreuse a partagé avec vos parents et alliés la douleur, les sentiments d’affection et de tristesse perfectibles sur tous les visages.
Votre frère Ousmane Tanor Dieng et votre époux le Maire Ibrahima Dione à qui nous présentons nos sincères condoléances ont affirmé que vous êtes une personne qui leur est très chère, et qui a toujours su écouter même lorsque les moments étaient difficiles.
Nous gardons encore en mémoire le témoignage de vôtre époux M Ibrahima Dione qui disait: « Dans notre ménage, je n’ai jamais senti le poids oppressant de ton frère.
Tu as choisi d’être une épouse dévouée. Cette attitude, toute de noblesse a certainement contribué au renforcement de mes relations avec le President Ousmane Tanor pour qui j’ai du respect, de l’estime et de la considération. »
Vous n’êtes pas partie, car vous vivez encore en nous dans la mémoire et dans le cœur de vos amis. Je sais que tous gardent de vous un bon souvenir et prient Dieu que vous avez tant loué et aimé de vous accorder le meilleur de son paradis.
Aux parents et amis de Bambi, je présente mes sincères condoléances et rappelle avec votre permission, que même si une lampe s’est éteinte avec elle, la mort n’est pas l’obscurité, et rien ni personne ne peut enlever le souvenir d’une sœur, d’une épouse, d’une amie adorable et digne de respect.
Oui la douleur était partagée par une foule nombreuse dont les sentiments d’affection et de tristesse étaient perceptibles à travers les visages comme pour confirmer les propos de William Shakespeare qui disait: «l’esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l’amitié le console». BAMBI, reposez en paix et attendez nous auprès de l’éternel.
Babacar MBENGUE journaliste Consultant en Communication Politique et Relations Publiques