Idrissa Seck rejette la date du 2 juin proposée par le dialogue. Selon lui, il serait contraire à la décision du Conseil constitutionnel. «Le scrutin doit impérativement se tenir avant le 2 avril 2024», dit-il.
D’autre part, le candidat du parti Rewmi réclame d’abord la «vérité sur les responsabilités et réparation des torts faits aux victimes, d’abord » avant de toute amnistie. Autrement dit il veut des enquêtes et des procès avant de passer au pardon et à la réconciliation ensuite.