La généreuse et l’aigri

Contribution

Par Lobé DIONNE

C’est l’histoire d’un méchant et aigri homme, qui voue une haine viscérale aux femmes. En effet, depuis qu’il a été répudié par sa femme, l’aigri de Kaolack déteste toutes les femmes, en pensant certainement à son ex-femme qui l’a foutu à la porte. Aujourd’hui, le crapaud projette sa bave et sa haine sur la généreuse Mariama Sarr, maire de Kaolack. Il lui en veut à mort et cherche à salir son image, au motif que l’édile de Kaoalck a boycotté sa foire, «la foire annuelle de l’arnaque du Saloum», selon Abdoulaye Khouma, responsable à la Cojer de Kaolack. «De qui se moquent les organisateurs? A la tête de cette initiative mafieuse, l’affairiste (….) est le seul et unique bénéficiaire de l’essentiel des retombées financières. Ni Kaolack, ni l’économie de Kaolack, encore moins les populations n’ont jamais ressenties l’impact de ce juteux business unipersonnel à responsabilité limitée. Parce que, voilà un homme d’affaires qui exploite l’espace public sans aucune obligation fiscale, sans payer la taxe municipale», poursuit Abdoulaye Khouma.

Il faut aussi dire que, lors de la première édition, la mairie de Kaolack, la chambre de commerce et la chambre des métiers avaient cotisé chacune 2,5 millions de francs, soit au total 7,5 millions de francs. Et jusqu’à présent, le bonhomme n’a jamais daigné présenter un bilan aux autorités locales et administratives. Voyant certainement que l’affaire rapporte de l’argent, notre bonhomme qui ne vit que pour l’argent a écarté tout le monde et opère désormais en solo.

Paradoxalement, c’est à cause de «la foire annuelle de l’arnaque du Saloum» que le crapaud insulte et vilipende une femme honnête, entièrement dévouée à sa ville, à ses administrés et à sa fonction de ministre de la Fonction publique. Le crapaud de Kaolack cherche, avec sa bave nauséabonde, à salir son image. Heureusement que sa bave n’atteindra jamais la première magistrate de Kaolack.

Il faut dire que les deux ne vivent pas dans le même monde et n’ont pas les mêmes valeurs. Des années lumières les séparent. Mariama Sarr est au service exclusif de ses administrés et de l’Etat du Sénégal. A preuve, tout dernièrement, elle a dégagé une enveloppe de 12 millions de francs Cfa pour venir en aide à 466 sinistrés des dernières inondations. En plus d’être d’une générosité à nulle autre pareille, elle est cultivée, travailleuse et discrète, alors que notre crapaud, qui roule sa panse par terre et dont le seul mérite dans sa vie c’est d’être ‘’le fils de’’, est prêt à toutes les bassesses. Non content d’être un piètre gestionnaire, il est en train de foutre en l’air l’héritage famillial, il roule ses sœurs dans la farine. A preuve, au mois de novembre dernier, il est visé par une plainte pour «abus de biens sociaux, escroquerie, faux et usage de faux». Une plainte déposée le 22 août dernier auprès du Procureur de la République, par sa sœur. La requérante dénonce dans sa plainte, la vente d’un immeuble sis à la rue Félix Eboué. Une vente effectuée à hauteur de 2,1 milliards FCFA, en 2017.

Pris, la main dans le sac, notre bonhomme n’a rien d’autre à faire que de menacer de mort et d’injurier publiquement les journalistes qui ont relayé cette plainte. Ce qui en dit long sur la nature du crapaud qui en veut au responsable de l’Apr à Kaolack qui a réduit l’opposition à sa plus simple expression dans tout Kaolack. En effet, c’est grâce à son travail et sa présence permanente auprès des populations que l’Apr et son président Macky Sall ont enregistré des scores inédits. En définitive, le seul tort de Mariama Sarr c’est d’être travailleuse et d’avoir la confiance du président de la République, Macky Sall.

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