Maitre Boucounta Diallo affirme que le conseil rural de Sindia, à l’époque, a délibéré sur un objet inexistant ». L’avocat s’est exprimé sur l’affaire Sedima-Ndingler : « C’est ce qu’on appelle en droit administratif le fait d’outrepasser ses pouvoirs. Et lorsqu’une autorité administrative outrepasse ses pouvoirs, on parle d’illégalité de la mesure qui a été prise.
Même si la Sedima a bénéficié de cette délibération, elle est frappée d’illégalité et ça peut faire l’objet d’un recours devant la Cour suprême pour excès de pouvoir », a affirmé l’avocat, et qui assène : « A Djilakh, le mètre carré peut être vendu à 10 000 F. Avec 225 hectares, vous avez 22 milliards 250 millions. »