La situation à la Médina ne peut pas être réglée par l’Etat. Toujours, l’on note une persistance de la rancoeur et de la haine des adversaires qui menacent de représailles extra-judiciaire des jeunes. Cela se déroule sous forme de vengeance privée née de la faiblesse de la culture démocratique tellement que ces gens-là n’ont pu digérer leur défaite. Ainsi, ils menacent toujours Babacar Paye, Mamadou Diagne et Ibrahima Dioum et leur tiennent responsable de tout ce qu’ils ont subi lors de ces périodes de troubles.
