Le docteur Fatimata Ly présidente de l’association internationale d’information sur la dépigmentation artificielle (Aiida) a révélé que le taux de khessal se situe entre 62 et 72%.
Les conséquences sont énormes selon la spécialiste avec la récurrence des maladies comme le diabète, l’hypertension et les cancers chez les femmes. Le mal atteint les enfants avec des bébés dont les poids à la naissance sont de plus en plus petits, rapporte Sud quotidien.
Le Sénégal est deuxième au classe des pays africains dont les populations pratiquent le dépigmentation volontaire, selon une étude publiée l’année dernière.