Ayant déclaré et soutenu que si j’étais élu Président de la République, je mettrai notre pays au travail pour éradiquer le chômage en cinq ans, je reçois souvent quelques remarques sceptiques. Je choisis d’en traiter trois :
1) ceux qui croient que c’est juste une promesse électorale, voire démagogique.
À ceux-là, je réponds que je suis engagé dans la lutte contre le chômage depuis plus de 26 ans et que j’y consacre, à travers publications, conseils, coaching, formation et assistance dans les démarches projets, tout mon temps et toute mon énergie, de façon quasi bénévole.
Les auteurs de ces types de remarques négatifs sont soit ignorants de la passion qui est mienne pour ce projet soit ils n’ont plus aucune confiance ni en eux mêmes ni en qui que ce soit. Hélas, on ne peut convaincre quelqu’un qui doute de tout et de tout le monde.
2) ceux qui disent que c’est impossible d’éradiquer le chômage, surtout pas en cinq ans.
À ceux là, je réponds qu’ils sont incapables de me démontrer qu’ils ont raison ou que j’ai tort.
Les auteurs de ces types de commentaires négatifs sont des gens qui vivent avec la peur et qui sont incapables de créer des dynamiques, ce sont des poids morts de la société qui se laisser entraîner dans le train train quotidien, comme une masse inerte. Ces gens sont effrayés par l’inconnu et ils ne prennent que des sentiers battus, et ne s’imaginent traverser aucune frontière.
3) ceux qui disent, sans nier la nécessité et la possibilité d’éradiquer le chômage au Sénégal en cinq ans que l’environnement de notre pays n’est pas favorable à la réalisation de mon projet.
À ceux là, je réponds qu’ils ont raison et que je suis bien conscient que le statut quo est incompatible avec le projet qui est mien Il faudra, donc et absolument,
1)mettre de l’ordre dans notre pays : si les lois ne sont pas bonnes, il faut les changer, mais elles doivent être respectées par tous, sans abus et sans faiblesse dans leur application.
2) favoriser le dialogue et la coopération constructive : l’union fait la force, dit l’adage et il est difficile de construire dans les querelles intestines.
3) donner envie aux citoyens d’être utiles, encourager les plus productifs en les célébrant et en les menageant.
4) prendre les manettes de notre économie à travers ma souveraineté monétaire et sécuritaire.
Au demeurant, les individus les plus positifs sont ceux qui m’encouragent, me proposent leur aide ou me disent comment ils croient qu’il faudra faire pour éradiquer le chômage au Sénégal en cinq ans. Parcequ’en réalité, mon projet est un appel à agir pour changer le statut quo, ensemble. Pour ce faire, nous avons besoin d’ordre, de créativité et de savoirs ou de connaissances et d’ambitions.