C’est lundi que le président de la République officialisera sa candidature à sa propre succession, une troisième candidature «anti constitutionnelle », selon l’opposition et la société civile. En recevant, ce samedi les élus de sa coalition, il a déclaré que le premier mandat ne compte pas puisque, selon lui, quand il a voulu réduire la durée de celui-ci de 7 à 5 ans, le conseil constitutionnel avait refusé.
Les élus locaux de la coalition présidentielle parti qu’il a réuni au palais de la République, ce samedi, ont, sans surprise, décidé de soutenir cette candidature controversée.