«La pléthore de partis politiques est révélatrice de quelque chose de pathologique. Aujourd’hui il y a l’impérative de la rationalisation des partis et la rationalisation de la participation électorale. Dans la réforme constitutionnelle du 20 mars 2016 il est prévu la rationalisation des partis politiques car tous les points ont été réglés sauf cette question. A mon avis après les législatives on va organiser des concertations pour aboutir à une formelle consensuelle pour rationaliser les partis politiques », promet Ismaël Madior Fall, le conseiller juridique du président de la République. 47 partis et coalitions de partis participent aux élections législatives du 30 juillet.